• parce qu'il y'a des choses universelles

    Hier, je me suis souvenue que j'avais eu 15 ans. Que j'adorais parler ici pour dire tout et n'importe quoi. J'pensais que ma vie était palpitante, ou en réalité peut être que c'était aussi comme ça qu'elle le devenait. 

    Aujourd'hui avec vous encore une fois j'ai besoin de partager, en espagnol, en français, en italien, ce qui se trame par ici. Ce qui s'exprime parfois dans ma tête et dans mon coeur, parce qu'il y'a des choses qui ne tournent pas rond, et que les écrire vaut mieux que d'essayer de les remettre dans l'ordre. 

    Demain, pour finir, peut être que j'aurais appris à regarder l'horizon d'un autre oeil, et que partir donne l'envie de partir, et qu'il suffisait juste de partir. 

    Etre loin, c'est un peu comme être seule. 

    Un ilot qui m'appartiend, une parenthese ou finalement les choses passent et finissent par ne plus m'atteindre. Parce que pleurer fait du bien mais que les chutes du niagara ont une fin. Que j'ai déjà vécu milles et une choses, que je sais dire des mots et des phrases en espagnol. Mes redactions ne veulent souvent rien dire, j'aime parler de crocodiles, d'arbres en fleurs et de neige en été. 

    Parce que j'ai déjà ouvert Caligula, et qu'il prend encore un sens différent ici.

    Et parce qu'il m'a acheté un livre de Lorca à 1.50E que je trimballe sans cesse dans mon sac. 


  • Commentaires

    1
    ton cul
    Lundi 24 Octobre 2011 à 19:39
    Euhhh...
    Crocrodile, je pense que, mademoiselle vous avez fait une faute d'orthographe...
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :